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L'étude
Le Rapport
Lexique
Méthodologie
LEGENDE
Communes : Langogne (partie langouyrou) La traversée de la ville de Langogne par le Langouyrou est marquée par une très forte anthropisation des lits du cours d’eau. A son entrée dans l’agglomération, le lit mineur du Langouyrou est large d’une dizaine de mètres. Son fond alluvionnaire est parsemé de blocs métriques. Tout au long de la traversée de la ville, ce lit garde une largeur constante et voit son tracé fortement rectifié par les aménagements. Le lit moyen depuis la passerelle en bois situé en bas de la rue des Martinets (entrée amont de l’agglomération), jusqu’à la confluence avec l’Allier, a été totalement modifié, parfois recalibré artificiellement comme à l’amont du pont Neuf, parfois recouvert par des remblais, des constructions ou des jardins surélevés. Les enrochements et murs de constructions situés en lit moyen ou lit mineur sont fréquents. (partie Allier) En amont de Langogne, à la sortie du viaduc SNCF, une zone d’expansion de la rivière se développe, principalement en rive droite de l’Allier. Elle est élargie des zones inondables correspondant aux cônes de déjection de petits affluents (dont le ruisseau de Genestouze). Le lit majeur séparée du lit mineur par un talus relativement haut, est traversé par le remblai de la route D392. En rive gauche du pont de celle-ci, le camping municipal, partiellement en remblai est à cheval entre lit majeur et substrat. Un panneau informatif est affiché sur le bâtiment sanitaire. Il indique aux usagers la ligne de plus hautes eaux estimée, propose un plan d’évacuation des zones menacées et sensibilise les usagers à la possibilité de tels évènements en soulignant l’exemple de la crue de 1980. Au pont d’Allier (pont de la RN 88), des habitations, entrepôts et commerces figurent parmi les enjeux en zone inondable. |
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